TRADUCTION AUTOMATIQUE

UNE BOMBE NANOTECHNOLOGIQUE A L'ORIGINE DU TSUNAMI DU 26/12/2004 !!

UNE BOMBE NANOTECHNOLOGIQUE A L'ORIGINE DU TSUNAMI DU 26/12/2004 !!

En effet, car c'est l'explosion volontaire d'une bombe nanotechnologique au large de l'océan indien(en physique quantique, briser des molécules dans la dimension de l'infiniment petit, l'énergie déployée est alors telle, que la bombe atomique née des équations d'Einstein, pourrait être comparée à un simple pétard) qui est à l'origine de cette catastrophe !

Cette opération militaire a été réalisée dans le cadre des "blacks programs" américains !
A noter, que l'armée américaine dispose d'au-mois 5 années d'avance en matière de nanotechnologies par-rapport à l'Europe !!!

Sont notamment impliqués dans cette opération, l'Omc (organisation mondiale du commerce) et l'industrie pharmaceutique européenne car l'Inde (l'objectif de cette opération) commercialise des médicaments génériques non brevetés !!

Sans compter l'aspect financier où 4 milliards de dollars ont été détournés des dons perçus par les principales Ong et ce, grâce à la technique bancaire de la "lettre d'évidence" dont l'unité de valeur de base est le million de dollar. La banque permet ainsi au dépositaire des fonds, de disposer de l'ouverture d'une ligne de crédit pour une durée de 3 semaines au bout de laquelle le dépositaire perçoit une forte commission et reverse la différence à l'Onu, au Hcr,...
Avec cette technique, il est impératif que les opérations de catastrophes naturelles provoquées aient lieu en fin d'exercice comptable afin de générer le plus gros profit possible.
A noter, qu'à l'issue des 3 semaines de dépôt des fonds, le dépositaire reverse (ni vu, ni connu) la somme initiale déposée, aux ONG
En Europe, il y 2 banques qui proposent cette technique, l'une basée à Genève en Suisse et l'autre à Bruxelles en Belgique.

Pour informations, je rappelle que le séisme provoqué le 26/12/2004 était d'une intensité de l'ordre d'environ 9,4 sur richter le lendemain de Noël tandis que curieusement la principale réplique enregistrée, d'une intensité d'environ 8,7 sur richter (selon l'institut de physique du globe à Strasbourg) a eu lieu le lendemain de Pâques en 2005 et n'a cette fois-ci pas entraînée de tsunami !!! Entre le jour du tsunami et le lundi de Pâques, l'on a bien enregistré des séismes répliques, mais de bien moindre importance !!
Par-ailleurs, et cela s'avère un détail très important, l'on a curieusement enregistré aucun séisme artificiel provoqué par les essais nucléaires souterrains, dans la période comprise entre 1999 et 2004, alors que cela a toujours été chaque année le cas, auparavant ! (cette information est publique, puisque vous pouvez la trouver par-exemple dans le "quid 2006")
En d'autres termes, il y a eu cessation des activités d'essais militaires mondiales entre la tempête du 26 décembre 1999 et le tsunami du 26 décembre 2004 !!! Et pour cause, puisque les priorités financières des Armées se sont concentrées vers d'autres opérations !
A présent, vous comprenez un peu mieux pourquoi, l'ampleur phénoménale de ces catastrophes et les datations de ces opérations (cf.technique bancaire "lettre d'évidence) !!!

Tous les détails et preuves de cette opération, sont actuellement détenus par un ex officier de l'armée de l'air française (était affecté au 7 è bca au poste de guide tactique aérien).
Cet ex officier a notamment été victime de 2 tentatives d'assassinat, l'une réalisée le 17 mars 2005 (la façade de son logement a été criblée de balles) et l'autre le 9 juin 2006 mais cette fois-ci avec l'appui d'un hélicoptère, son 4X4 a été visé !!!
Annexe : A propos d'un autre dossier, cet ex officier a personnellement photographié les immenses paraboles situées dans les Highlands en Ecosse, à l'origine de la tempête du 26/12/1999 et ayant entraîné une inversion de champ magnétique.
Par ailleurs,le responsable de la 1ère agence privée de Renseignements française, en l'occurrence "Liesi"(Lettre d'Informations Economiques Stratégiques Internationales) a publié en septembre 2004, soit plus de 3 mois avant le tsunami du 26/12/2004, dans son ouvrage "élections américaines 2004-2008 et les skull and bones", les grandes lignes de l'opération tsunami 2004 !!
Par-ailleurs, le responsable de "Liesi" a tenu une conférence en mai 2003 à Paris dont le sujet était la canicule du mois d'août à venir durant la même année, il a évoqué une opération américaine à l'aide de micro-ondes pulsées dont l'objectif était d'imposer à l'Europe et plus précisément à la France, les cultures Ogm (la société américaine "Monsanto" est d'ailleurs impliquée dans ce dossier).
La tempête de décembre 1999 ainsi que la canicule d'août 2003, ont été prévus dès l'automne 1999 lors d'une réunion ultra-secrète au sein de l'ambassade des Etats-unis à Paris !! La source d'information, qui était en contact avec certains éléments du Renseignement américain, avait assisté elle-même à cette réunion ultra-confidentielle !
Afin d'en savoir plus au sujet de ce dossier "tsunami 2004"qualifié de "très sensible", je vous recommande d'entrer directement en contact avec cet ex officier et ce, en lui transmettant un message à l'adresse courriel suivante : revelations.tsunami2004@yahoo.fr
DERNIERE MINUTE : Cet ex officier de l'armée française a été victime le 8 octobre 2007 (dans la région de Moutiers en Savoie) d'une grave agression : ses véhicules ont été incendiés, meubles et documents détruits, 2 blogs neutralisés !!!

La fin du dollar

Vendredi, 09 Octobre 2009 09:40


La fin du dollar

Robert Fisk

Donnant une illustration saisissante du nouvel ordre mondial, les pays arabes ont lancé des initiatives secrètes conjointement à la Chine, à la Russie et à la France, qui visent à cesser d’utiliser la monnaie américaine pour le commerce du pétrole.
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En septembre, l’Iran a annoncé que ses réserves de devises étrangères seraient, dorénavant, libellées en euros, et non pas en dollars.
Dans ce qui est le plus profond changement financier de l’histoire contemporaine du Moyen-Orient, les pays arabes du Golfe sont en train de préparer – avec la Chine, la Russie, le Japon et la France – la cessation du recours au dollar pour les transactions pétrolières, au profit d’un panier de devises comportant le yen japonais, le yuan chinois, l’euro, l’or et une nouvelle devise unifiée préparée par les pays membres du Conseil de Coopération du Golfe, qui regroupe notamment l’Arabie saoudite, Abu Dhabi, le Koweït et le Qatar.

Des réunions secrètes ont d’ores et déjà été tenues entre ministres des finances et gouverneurs des banques centrales, en Russie, en Chine, au Japon et au Brésil, afin de travailler à ce projet, qui aura pour effet que le pétrole ne sera désormais plus échangé contre des dollars.

Ces projets, que des sources des milieux bancaires tant du Golfe arabe que chinois de Hong Kong nous ont confirmés, peuvent expliquer pour partie une hausse soudaine des prix de l’or. Mais ils augurent aussi d’une extraordinaire transformation des marchés libellés en dollars, qui sont appelés à disparaître peu à peu au cours des neuf années à venir.

Les Américains, au courant de ces réunions – bien qu’ils n’en aient pas mis au jour les détails – vont certainement lutter contre cette cabale internationale qui inclura dorénavant y compris certains de leurs fidèles alliés, comme le Japon et les pays arabes du Golfe. Dans le contexte de ces négociations monétaires, Sun Bigan, ex-envoyé spécial chinois au Moyen-Orient, a mis en garde contre le risque qu’elles n’approfondissent les divisions entre la Chine et les Etats-Unis, qui sont en concurrence pour l’influence et le pétrole, au Moyen-Orient. « Des querelles et des clashes bilatéraux sont inévitables », a-t-il dit à notre confrère Asia and Africa Review. « Nous ne pouvons en aucun cas baisser la garde à l’encontre de l’hostilité, au Moyen-Orient, autour des enjeux de l’énergie et de la sécurité ».

Cela sonne comme une inquiétante prédiction d’une future guerre économique entre les Etats-Unis et la Chine, pour la conquête du pétrole moyen-oriental – transformant, de surcroît, les conflits endémiques de cette région en une bataille pour la suprématie de la première puissance mondiale. La Chine consomme plus de pétrole que les Etats-Unis, et elle en consomme de plus en plus, sa croissance économique étant moins efficace énergétiquement. La monnaie de transition, dans le mouvement prévu d’abandon du dollar, pourrait fort bien être l’or, laissent entendre certaines sources des milieux bancaires chinois. La richesse d’Abu Dhabi, de l’Arabie saoudite, du Koweït et du Qatar, qui, ensemble, détiennent des réserves estimées à 2,1 milliers de milliards de dollars, donne une idée des sommes gigantesques en cause.

Le déclin de la puissance économique américaine, liée à la récession économique mondiale actuelle, a été implicitement reconnu par le président de la Banque Mondiale, Robert Zoellick : « Un des legs de cette crise sera sans doute la prise de conscience d’un bouleversement total dans les relations entre puissances économiques », a-t-il déclaré, à Istanbul, en prélude à la réunion du Fonds Monétaire International et de la Banque Mondiale qui doit s’y tenir, cette semaine. Mais c’est l’extraordinaire puissance financière, totalement inédite, de la Chine – conjointement à l’irritation des pays producteurs et consommateurs de pétrole contre la capacité américaine d’interférer dans le système financier international – qui a motivé les négociations récentes impliquant les pays du Golfe.

Le Brésil a manifesté son intérêt pour une collaboration à des paiements pétroliers en non-dollars, ainsi que l’Inde.
De fait, la Chine apparaît comme la plus enthousiaste de toutes les puissances économiques concernées, et ses énormes échanges commerciaux avec le Moyen-Orient n’y sont pas pour rien… En effet, elle importe 60 % de son pétrole, essentiellement du Moyen-Orient et de Russie. Les Chinois détiennent des concessions pétrolières en Irak – qui étaient restées bloquées par les Etats-Unis jusqu’à cette année – et, depuis 2008, ils mettent en œuvre un accord signé avec l’Iran, pour un montant de 8 milliards de dollars, visant à développer les capacités de raffinage et les ressources gazières de ce pays. Elle a des accords pétroliers avec le Soudan (où elle s’est substituée aux intérêts américains [jolly good ! ndt]) et elle continue à négocier des concessions pétrolières avec la Libye, un pays dans lequel tous les contrats de cette nature ne peuvent qu’être des joint ventures.

De plus, les exportations chinoise vers le Moyen-Orient représentent désormais non moins de 10 % des importations de chacun des pays de cette région, y compris un large éventail de produits allant des automobiles aux systèmes d’armement, en, passant par les produits alimentaires, l’habillement, et même… les poupées ! En une claire indication de la musculature croissante de la Chine, le président de la Banque centrale européenne, Jean-Claude Trichet, a plaidé, hier, auprès de Pékin, afin de lui demander de laisser s’apprécier le yuan par rapport à un dollar en dégringolade et, par extension, de relâcher la dépendance de la Chine par rapport à la politique monétaire américaine, afin de contribuer à rééquilibrer l’économie mondiale et d’atténuer les pressions à la hausse sur l’euro.

Depuis les accords de Bretton Woods – ces accords, conclus juste après la fin de la Seconde guerre mondiale, qui définirent l’architecture du système financier international actuel – les partenaires commerciaux de l’Amérique ont eu affaire à l’impact du contrôle de Washington, ainsi, ces dernières années, qu’à l’hégémonie du dollar, en tant que réserve de devises mondiales dominante.

Ainsi, les Chinois sont, par exemple, persuadés que si les Américains ont persuadé la Grande-Bretagne de rester à l’extérieur de l’euro, c’est uniquement afin d’empêcher un mouvement d’abandon du dollar, qui se serait déjà produit, sans cela. Mais nos sources dans les milieux bancaires chinois disent que leurs pourparlers sont d’ores et déjà allés trop loin pour pouvoir être bloqués, désormais. « Les Russes vont finalement mettre le rouble dans la cagnotte des devises (non-dollar) », nous a ainsi déclaré un éminent courtier de Hong Kong. « Les Brits sont coincés au beau milieu du gué, et ils vont devoir adopter l’euro : ils n’ont pas le choix, dès lors qu’ils ne pourront plus utiliser le dollar américain… »

Nos sources des milieux financiers chinois pensent que le Président Barack Obama est trop occupé à soigner l’économie américaine pour se concentrer sur les implications extraordinaires de la transition conduisant à l’abandon total du dollar d’ici neuf ans. La deadline actuelle, pour le parachèvement de la transition monétaire est, en effet, l’année 2018.

Les Etats-Unis ont brièvement évoqué cette tendance lors du sommet du G20 à Pittsburgh ; le gouverneur de la Banque centrale chinoise et d’autres responsables se plaignaient de manière audible du dollar, depuis des années. Leur problème, c’est qu’une part considérable de leur richesse nationale est constituée d’avoirs en dollars…
« Ces projets changeront le visage des transactions financières internationales », a indiqué un banquier chinois. « L’Amérique et la Grande-Bretagne peuvent se faire du mouron : vous saurez à quel point elles sont emmerdées au tonnerre de démentis que cette information ne manquera pas de susciter… »

En septembre, l’Iran avait annoncé que ses réserves de devises étrangères seraient dorénavant en euros, et non plus en dollars. Les banquiers se souviennent, bien évidemment, de ce qui est arrivé au dernier producteur de pétrole du Moyen-Orient à avoir vendu son pétrole en euros, et non en dollars : quelques mois seulement après qu’un certain Saddam Hussein eut annoncé cette décision avec tambour et trompette, les Américains et les British envahissaient l’Irak…


Traduction : Marcel Charbonnier
Source: Mondialisation

SANTE

Mercredi, 23 Septembre 2009 11:43


Grippe H1N1: halte à la désinformation

SNPI
La grippe H1N1 est cinq fois plus contagieuse que le grippe saisonnière, mais moins grave et moins mortelle. Le virus n’a pas muté depuis son apparition en avril, après avoir traversé tous les pays et tous les climats, et n’y a donc aucune raison pour qu’il mute cet automne. Sur 4.107 réponses au 16.09.09, seulement 26% des infirmières acceptent la vaccination H1N1 !
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Il suffit de consulter les données de l’INVS, l’Institut de Veille Santaire pour constater que la grippe H1N1 arrive, mais que c’est loin d’être la "peste noire" dont on nous menace (cf bulletin INVS du 16.09.09 en téléchargement).
Nombre de consultations pour grippe : 

93.000 cette semaine 37, 

25.000 en semaine 36, 

36.000 en semaine 35, 

28.000 en semaine 34, 

22.000 en semaine 33, 

23.000 en semaine 32

Or avec la grippe saisonnière, on enregistre environ 1 mort pour 1.000 à 1.500 cas (2.000 à 6.000 morts par an en France, dans l’indifférence générale), c’est à dire 10 morts par tranche de 10.000 cas. Donc si la grippe H1N1 était aussi mortelle que la grippe saisonnière, on aurait du enregister 60 à 90 morts pour 93.000 cas la semaine dernière. Heureusement nous en sommes loin, preuve du caractère peu virulent de ce virus, même s’il est cinq fois plus contagieux.
Depuis le début de l’épidémie en France (mai 2009) il a été constaté 26 décès de malades porteurs du virus H1N1 (dont 5 en métropole, 1 décès en Guyane, 5 à la Réunion, 9 en Nouvelle Calédonie et 6 en Polynésie Française). A part deux cas, toutes ces personnes étaient atteintes de pathologies importantes avant de rencontrer le virus H1N1.
"Le taux de létalité de la grippe A(H1N1) est probablement inférieur aux estimations antérieures et comparable à celui d’une épidémie modérée de grippe saisonnière", a estimé le 16.09.09 un expert américain sur les maladies infectieuses. "Elle est particulièrement bénigne chez les enfants". Au cours d’une réunion d’experts sur la grippe organisée par l’Institut américain de médecine, le Dr Marc Lipsitch, de l’université d’Harvard, a avancé une fourchette de 0,007% à 0,045%, sur la base de données de différents pays dans le monde, le taux de létalité pour la grippe saisonnière étant inférieur à 0,1%.
Le virus A (H1N1) 2009 est le virus grippal majoritaire en France métropolitaine. Il ne nécessite pas pour autant les mesures d’exceptions liées à une vaccination de masse : l’organisation actuelle des "centres de vaccination H1N1" pose des problèmes éthiques. D’une part, ce processus industriel de travail sur un "chaîne de vaccination" est inadmissible pour un acte soignant, car contraire aux règles de bonnes pratiques et aux recommandations professionnelles. D’autre part le principe même d’une "chaine de vaccination" relève d’une médecine vétérinaire : 2 minutes par personne, en file indienne.
Détails : http://www.syndicat-infirmier.com/V...
"Compte-tenu du bénéfice /risque de cette vaccination particulière, nous exigeons que les personnes qui souhaitent se faire vacciner aient un entretien avec un professionnel de santé, et signe un document de « consentement éclairé », comme pour les médicaments expérimentaux" indique Thierry AMOUROUX, le Secrétaire Général du SNPI CFE-CGC, le Syndicat National des Professionnels Infirmiers.
Détails : http://www.syndicat-infirmier.com/V...
La pandémie peut causer une crise économique, et l’Etat s’est très bien organisé pour y faire face (conseils d’hygiène, masques, Tamiflu). "Mais injecter 94 millions de doses d’un produit sur lequel nous n’avons aucun recul peut poser un problème de santé publique, et il est de notre devoir d’infirmières d’informer correctement la population, pour que chacun prenne sa décision en toute connaissance de cause, par un consentement libre et éclairé, et non par une campagne de publicité et des discours alarmistes".

Détails : http://www.syndicat-infirmier.com/V...
Les professionnels de santé sont d’ailleurs nombreux à refuser de se faire vacciner avec ce vaccin H1N1. Au niveau des infirmières, dans le cadre d’un questionnaire internet, nous avons enregistré 4.107 réponses au 16.09.09 : 26% acceptent la vaccination H1N1 (sondages précédents à l’étranger 37% en Angleterre, 48% à Hong Kong). Au delà des chiffres, nous vous invitons à lire les paroles d’infirmières à la fin de l’article : http://www.syndicat-infirmier.com/V...
Selon le bulletin INVS :
La progression rapide et concordante de ces indicateurs pour la semaine 37 indique que l’épidémie a débuté en France métropolitaine.
L’excès de consultations pour grippe clinique estimé par le réseau Sentinelles est de 93 000 en semaine 37, par rapport à la moyenne des années précédentes pour la même semaine. Le nombre de consultations pour infections respiratoires aiguës (IRA) liées à la grippe A (H1N1) 2009 est estimé par le réseau des Grog à environ 23 000 pour la semaine 36.
Définitions : 

Grippe clinique (réseau Sentinelles) : fièvre d’apparition brutale supérieure à 39 °C, accompagnée de myalgies et signes respiratoires. 

Infection respiratoire aiguë (IRA) (réseau des Grog) : apparition brutale de signes respiratoires (toux, rhinite, coryza) avec un contexte infectieux aigu (fièvre, asthénie, céphalée, myalgies…).
Pour la semaine 37 (7 au 13 septembre 2009) : 
 selon le réseau Sentinelles de l’Inserm, l’incidence des consultations pour grippe clinique est estimée à 164 cas pour 100 000 habitants, soit environ 103 000 consultations. 
 Les tableaux cliniques rapportés par les médecins Sentinelles ne présentaient pas de signe particulier de gravité (taux d’hospitalisation des cas rapportés inférieur à 1 %). 
 Les régions où le taux d’incidence est le plus élevé sont : Languedoc- Roussillon, Limousin, Nord-Pas-de-Calais, Provence-Alpes-Côte d’Azur et Rhône-Alpes
Source: Syndicat National des Professionnels Inifrmiers

SUCRE, otra estocada al dólar

SUCRE, otra estocada al dólar


Hedelberto López Blanch
Rebelión



Por primera vez en la era de la historia moderna un grupo de países de América Latina considerados en desarrollo y que durante siglos padecieron colonizaciones y posteriormente estuvieron bajo la hegemonía de Estados Unidos, han decidido romper con la atadura del dólar y crear su propia moneda, válida para sus intercambios comerciales.

Los jefes de Estado y Gobierno participantes en la VII Cumbre de la Alianza Bolivariana para los Pueblos de Nuestra América (ALBA) tomaron la decisión de implementar el Sistema Único de Compensación Regional (SUCRE) para el intercambio comercial entre sus países que entrará en vigor a principios de 2010.

La futura integración monetaria, que contará con reservas en el Banco del ALBA, permitirá la protección contra las crisis económicas de los nueve Estados integrantes y los transforman en territorios sin dependencias de las agresivas políticas implementadas por organismos financieros como el Fondo Monetario Internacional y el Banco Mundial y los aleja de la hegemonía del dólar.

A la ALBA pertenecen Venezuela y Cuba (fundadoras), Bolivia, Nicaragua, Dominica, Honduras, Ecuador, San Vicente y las Granadinas, Antigua y Barbudas, y esta nueva iniciativa esta abierta a otros Estados de América Latina y el Caribe.

Los toques finales para la entrada en vigor del SUCRE se tomarán en una próxima reunión a realizarse en noviembre, cuando sus miembros analizarán y pondrán en marcha sus cuatro estructuras: un Consejo Monetario Regional; una Unidad Monetaria Común que funcionará como una moneda virtual, con la perspectiva de convertirse en moneda física; una Cámara Central de Compensación y un Fondo de Reserva y Compensación Regional.

El SUCRE regulará las compras y ventas entre los gobiernos, y se prevé para un futuro cercano que circule como una moneda real al igual que lo hizo el euro. En la reunión de noviembre se definirá hasta dónde alcanza su aplicación para regular todo el comercio entre las naciones y a cuánto equivale un SUCRE en la moneda de cada país, entre otros aspectos.

El sistema de pago se aplicará, principalmente, mediante el Tratado de Comercio de los Pueblos (TCP) que los países sufragaron en el marco de la Alianza, y el respaldo a esa unidad será a través de los depósitos en efectivo y en sus monedas que harán las naciones en el Banco del ALBA.

Al utilizarse el SUCRE entre las grandes transacciones de sus miembros, se limitará la utilización del dólar en las operaciones, lo cual permitirá promover aun más el comercio dentro de la región y generará un crecimiento económico importante en los países de la Alba.

Tras la Segunda Guerra Mundial, Estados Unidos se convirtió en la potencia global y con los acuerdos firmados en Bretton Wood, en 1944, logró que el dólar se estableciera como moneda de reserva en el orbe, cuyo su valor lo garantizaban sus grandes acumulaciones de oro.

Asimismo, en la década de 1970, Washington alcanzó un acuerdo con la OPEP para que las actividades comerciales petroleras se efectuaran con el billete verde, y por esos mismos años Estados Unidos separó el dólar de sus reservas de oro. De esa forma, comenzó a imprimir su moneda e inundó el mundo con papeles, sin que tengan un valor real con las riquezas del país emisor.

“Al suspender la conversión, el dólar pasó a ser una divisa que podía imprimirse a voluntad del Gobierno estadounidense sin el respaldo de un valor constante”, afirmó en una reciente Reflexión el líder cubano Fidel Castro.

Esta ha sido la principal motivación para que acreedores extranjeros busquen alternativas a la deuda estadounidense que han comprado y en la cual tienen sus reservas.

En esa carrera por separarse del billete verde sin que se devalúe abruptamente antes de deshacerse de él, han estado involucrados varios países.

En 2003, Siria comenzó a cambiar sus reservas por euros; el Banco Central de los Emiratos Árabes Unidos convirtió en euros el 10% de sus reservas en dólares; Venezuela siguió el camino hacia la búsqueda de monedas más seguras como euros y yuanes chinos; Suecia recortó sus reservas en dólares a solo el 20% y elevó al 50% las acumuladas en euros; El Banco Central de Rusia ya tiene la mayor parte de sus reservas en euros.

Irán abrió en el 2005 una bolsa para venta de petróleo en euros en la isla de Kish, en el Golfo Pérsico, que fue uno de los primeros golpes para el dólar, a la par que le provocó que Estados Unidos incrementara el odio hacia esa nación.

En esa misma vertiente, China y Brasil suscribieron un acuerdo para utilizar el real y el yuan en sus transacciones que alcanzaran este año el equivalente a 40.000 millones de dólares.

China y Argentina hicieron lo mismo (con pesos bonaerenses y yuanes) ascendente a 20.000 millones de dólares. Beijing ha firmado convenios similares con Corea del Sur, Malasia, Bielorrusia e Indonesia.

La Organización de Cooperación de Shanghai (OCS) -China, Rusia, Uzbekistán, Kirguistán, Tayikistán, Kazajstán- está apremiando a sus miembros a realizar el comercio con sus monedas nacionales o con una futura divisa supranacional para prescindir del dólar.

Mientras el poderoso grupo de economías emergentes conocido como BRIC (integrado por Brasil, Rusia, India y China) puntualizaron en un reciente encuentro que se hace “muy necesario tener un sistema de divisas estable, de fácil pronóstico y más diversificado”.

Los países de la ASEAN (Brunei, Birmania, Camboya, Indonesia, Laos, Malasia, Filipinas, Singapur, Tailandia y Vietnam) podrán en un futuro realizar convenios con yuanes en vez del dólar, según un programa piloto puesto en marcha por Beijing, primeramente con Hong Kong e Indonesia.

La hegemonía del dólar, como dueño y señor de las transacciones comerciales internacionales, está quedando atrás y dentro de poco dejará de ser la principal moneda de reserva mundial. En esta innegable realidad, el SUCRE también ha puesto su granito de arena.

Rebelión ha publicado este artículo a petición expresa del autor, respetando su libertad para publicarlo en otras fuentes.

Vean esto: ¡no tiene desperdicio!
Nota: creo que Paul tiene un enfoque neo-austríaco (ordoliberalista). Coincido con algunas cosas, mas no con todo. Aunque casi totalmente cuando se refiere a la FED (mi opinión)